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Création : 03/10/2008 à 12:43 Mise à jour : 24/03/2013 à 17:56

Banalitées ridiculement ridicules d'une gamine de treize ans.





Comment sauver une vie ?

Premièrement, tu dis que nous avons besoin de parler
Il avance, tu lui dis de s'asseoir, c'est juste une discussion
Il te sourit poliment
Tu le fixes poliment, plongeant ton regard à travers le sien
Il y a une sorte de fenêtre à ta droite
Alors qu'il va à gauche, tu reste là sans bouger
Entre les limites de la peur et de la honte
Tu commence à te demander pourquoi tu es venue

Où ai-je fais une erreur, j'ai perdu un ami
Quelque part avec un sentiment d'amertume
Je serais resté éveillé toute la nuit à tes côtés
Si j'avais su comment sauver une vie

Fais lui savoir que tu sais mieux
Car après tout tu sais vraiment mieux (que lui)
Essaies d'oublier sa justification
Sans lui accorder l'innocence
Fais une liste de ce qui ne va pas
Parmi les choses que tu lui as dit du début à la fin
Et prie Dieu pour qu'il t'entende

Alors qu'il commence à lever la voix
Tu baisse d'un ton et lui accorde un dernier choix
Conduis jusqu'à ce que tu perdes ton chemin
Ou finis en avec ceux que tu as toujours suivis
Il choisira l'une des deux options
Il admettra tout
Ou il dira qu'il n'est simplement plus le même
Et tu commence à te demander pourquoi tu es venue

Où ai-je fais une erreur, j'ai perdu un ami
Quelque part avec un sentiment d'amertume
Je serais resté éveillé toute la nuit à tes côtés
Si j'avais su comment sauver une vie

" Ne vous souciez pas de n'être pas remarqué, cherchez plutôt à faire quelque chose de remarquable"

Il y avait longtemps que je n'avais pas foulée les pages de la blogosphère  Lorsque je parcours les blogs qui pour la majorité ont été laissés à l'abandon, je me remémore beaucoup des souvenirs, des personnes, des visages.Tout ça me semble si lointain, c'était ma vie "d'avant".
En effet, nous avançons tous peu à peu vers quelque chose d'autre. Lorsqu'ils relisent les articles de leur blogs certaines personnes doivent se surprendre elles-même, par les émotions qui les submergeaient à l'époque. Je me surprend moi-même par la colère la douleur ou l'amour qu'il pouvait y avoir dans mes mots. Bien sur quand je repense à ces moments je ressent toujours le même genre d'émotion.Mais j'ai parfois l'impression que je ne serait plus jamais capable d'en ressentir certaines autres. J'ai enfermé tout ce qui pouvait m'atteindre dans un coffre à double tour au fond de mon coeur. La colère, la douleur et aussi l'amour. J'ai cette crainte continuelle que ces émotions ressortent et me frappent en plein visage. C'est tellement déstabilisant. Avec le temps je me suis bien sur rendue compte que c'était inévitable, on joue au dur mais la douleur ne peut pas se terrer indéfiniment et pire que tout l'amour se pointe parfois alors qu'on ne voudrait rien avoir affaire avec lui.
Parfois on croit toucher du bout des doigts quelque chose qui nous semblait disparut à jamais, une sorte de bonheur. Cette chose si douce et si éphémère. J'avais pris habitude de ne plus y croire, de mener une vie teinté de gris, une vie fade mais une vie simple à laquelle on s'habitue sans grand pic d'émotion. Juste vivre en essayant d'aller et d'atteindre les buts que nous nous sommes fixés. Et soudain des éléments perturbateurs viennent chambouler tout cette organisation que je m'étais donnée tant de mal à construire. Peu à peu on se laisse avoir et on s'embarque dans le jeu des fous rires interminables. C'est comme retomber en enfance, il faut tout réapprendre et c'est dans ces moments qu'on se rappel ce qu'on pouvait ressentir autre fois. Quand on sent qu'on  retrouve quelque chose un petit bout d'humanité, de la couleur . Vous savez quand on laisse tombé nos petites vies bien orchestrées pour laisser place au risque et à l'imprévu. Quand on décide vivre comme devrait vraiment vivre les personnes de notre age.
Tout cela paraît si simple et normal. Pourtant quand j'y pense j'ai l'impression de devoir prendre des risques inconsidérables et j'ai souvent envie de partir en courant et de me réfugier dans mon coffre à émotions avec tout le reste. Car s'autoriser à avoir des sentiments c'est prendre le risque de retomber dans le malheur. Il me semble tellement difficile d'envisager l'idée d'avoir mal encore, car la douleur n'est jamais vraiment partie elle se terre en surface et pointe le bout de son nez dès que les choses se compliquent. On pense avoir avancer mais en réalité lorsqu'on fait un pas en avant on en refait deux en arrière dans la foulée. L'apprentissage de la vie est un chemin semée d'embûche il me semble. Mais au fond de moi il me tarde d'affronter toutes ces embûches, même si j'ai bien compris que la douleur restera toujours à mes cotés le temps passe et ne m'attend pas alors il serait peut être temps que je prenne le train en route, je ne sais pas. Il est temps de faire de grandes choses. 
 
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#Posté le dimanche 24 mars 2013 17:56

J'avais encore tellement de choses à lui dire, tellement de choses à vivres, tellement de choses à partager.

Tout mon monde s'écroule autour de moi, mais à cet instant précis, là maintenant mais depuis plus d'un an et demi tout s'effiloche, se brise. Le temps passe, le temps file et m'éloigne un peu plus chaque jours du bonheur envolé depuis si longtemps, de la joie, de la douceur d'en temps. S'il revenait aujourd'hui il seraient surpris de voir que rien n'est comme il l'a laissé à son départ, rien appart peut-être l'amour que je lui porte. Les fidèles, les loyaux amis qui au départ me donnaient le courage d'être en vie et de m'accrocher à celle-ci. Ces amis la ne sont plus que des souvenirs hélas pour la majorité d'entre eux. Rien ne reste de cette époque hormis peut-être un bonjour cordial au détour d'une rue, de la colère et de la ranc½ur. Ou rien du tout, seulement de la tristesse de ma part. Parfois j'ai même du mal à croire que l'on aient été si proches à une époque. Et j'essaye de comprendre en vain quelle erreur ais-je pu commettre.  
 
Je ne suis pas de ce genre de fille qui se plaint à chaque instant et qui s'apitoie sur son sort, enfin je ne le suis plus, je crois...
Je suis calme et silencieuse j'observe je suis raisonnable j'essaye de bien travailler et je réfléchie à chaque conséquence pourraient avoir mes actes si je les réalisaient. La vie me parait si monotone, monocorde, monochrome, fade. Comme si chaque jours était un éternel refrain. Parfois j'ai l'impression de ne plus être une adolescente, ça m'est égale d'aller en boite chaque week-end ou ce genre de chose mais je sais très bien que je suis loin d'être une adulte. En réalité j'ai l'impression d'être une vielle dame, hanté par la solitude de cette vie parfois trop pesante. Les gens viennent me voir comme pour avoir  bonne conscience, pour ce dire qu'ils ont fait "une bonne action", montrer qu'ils ne me laissent pas seule, Ils commencent a avoir une vie et m'invitent chez eux à dîner car je suis seule le soir. Je ne suis pas mécontent qu'ils pensent à moi, mais il me traitent différemment on dirait. Je fais attention à tout, je suis maniaque en cuisine, je m'assois et je regarde au loin comme si ma vie avait été très longue, pourtant je sais très bien que j'ai vécu qu'une minuscule partie de celle-ci. Je passe mon temps à regarder de vielle photos en me remémorant chaque instant heureux que j'ai pu vivre; il y a longtemps.
 
Bien que de temps en temps je tante de croquer la vie à pleine dents, je suis le "Carpe Diem" et je mène une sorte de combat, dans lequel je me persuade qu'un jour le soleil reviendra, d'une nouvelle manière quel qu'elle soit. Mais cela reste tout de même plutôt délicat. De plus même si j'ai la sensation d'être une vielle dame, je n'ai pour l'instant aucune ride ce qui me rassure beaucoup!

 
 ils me manquent beaucoup et souvent: R, G, E et même N 
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#Posté le samedi 23 juillet 2011 20:22

Modifié le samedi 23 juillet 2011 21:10

Vous mouriez dans ses yeux de peurs qu'ils vous retiennent.

Vous mouriez dans ses yeux de peurs qu'ils vous retiennent.C'est étrange mais parfois j'oublie ce que ça fait de se sentir aimée de cette façon si particulière dont il avait le secret. Cette concentration de bonheur débordante, jaillissante, presque indescriptible. Ce sourire béat, de satisfaction tout simplement de bonheur. L'impatience de l'adolescence, de voir l'autre, l'être que l'on aime. Jamais plus je n'ai ressentie ça, Jamais plus depuis 1ans 5mois. Jamais plus je ne le ressentirais, pas comme ça. 
Au jour d'aujourd'hui chacun de morceaux de sentiments que je laisse paraître sont dosés, aucune douleurs apparentes, juste un simple sourire, parfois les yeux divaguent je regarde en l'air, dans le vide désespérément à la recherche de quelque chose,  d'un visage qui était omniprésent et qui a tout à coup a disparut. Les gens trouvent ça étrange, ils imaginent que je suis rêveuse, que je rêve aux douceurs de la vie. Non c'est simple, tout est vide. 
La solitude ne me fait pas peur, on s'y habitue, petit à petit les gens s'en vont, on ne sait pas pourquoi ils partent. J'ai remarquer qu'on ne peut rien y faire, on a beau essayer de s'attacher, se manifester non les gens partent et il faut les laisser faire. Ils suffit d'accepter. A force on accepte tout j'imagine. 
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#Posté le vendredi 25 mars 2011 17:23

C'est un endroit où le sable est blanc, où la mer est tellement clair que l'on peut en voir le fond, tu vois c'est là-bas que l'on se retrouvera.

00000Souvent nous pensons que nous sommes assez grand pour affronter la vie, que même si elle devient de plus en plus difficile on gère. Nous avons du mal à avaler les futilité du monde environnant car on sait  très bien qu'il y a plus grave dans la vie, ce qu'on vit parfois est bien plus grave, mais comme on pense être fort on n'en parle pas, on se contente d'écouter les autres parler de leur vie, et d'échanger des banalités, c'est comme cela que sont nos vies. C'est comme une habitude maintenant, on ravale ses larme et on essaye tant bien que mal d'avancer.On marche le long du chemin de la vie. Certaine personne ne savent même pas que la vie parfois nous joue des tours, qu'elle n'est pas celle que l'on espère et ils continuent de s'imaginer un futur, quelque chose au-quel ils croient dur comme fer. C'est jolie de rêver, mais je pense qu'un jour on se rend compte que l'on aura jamais ce que l'on espérait et on se fait une raison. On est souvent déçu car les gens partent, les gens que l'on aime, les gens qui compte, les gens qui ne sont pas vraiment des gens, ce sont plutôt des amis ou des amours. Certains partent définitivement et on reste malheureux, tout le temps! On sait très bien que d'autres ne partent pas définitivement, mais on ne sait pas quand sera le retour, et chaque jour on sourit, juste pour faire bonne figure une fois de plus. Car se raccrocher aux personnes, n'est pas une bonne idée je crois, un jour ils trouvent que l'herbe est plus verte ailleurs et s'en vont vers d'autres horizons.Et on sert les dents. On est seul au milieu de nul part.
Mais parfois, c'est trop, on voit le temps passer, les douleurs s'agrandir , les gens s'éloigner et les souvenirs s'effacer. On se  rend compte que l'on est pas si fort que ce que l'on imagine, que l'on arrive pas à suivre le chemin.


C'est un endroit où le sable est blanc, où la mer est tellement clair que l'on peut en voir le fond, tu vois c'est là-bas que l'on se retrouvera.


Alors on baisse les armes et on accepte d'être aidé.
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#Posté le mercredi 15 décembre 2010 16:30

Souviens toi de cette nuit, c'est la promesse de l'infini.

Souviens toi de cette nuit, c'est la promesse de l'infini.
N'avez vous jamais eu cette impression de ne pas vivre votre vie, juste de la subir, d'y être un figurant ?


Souvent, depuis près d'un an, je m'assois quelque part et j'observe le monde tourner autour de moi, je regarde les gens rire et pleurer, je les écoutes parler, j'essaye de décrypter qui ils sont vraiment car certains parlent peu, ils ont peur de blessé, de faire du mal, où sont juste introvertis . Je vis au travers de ces gens là, je me réjouie de leur bonheur et compatis dans leurs malheurs, c'est aussi simple que cela. Je les écoutes parler, les regardes vivre, faire des erreurs ou bien la meilleure chose possible.Et parfois, j'ai l'impression de ne pas être à ma place ici mais je suis là, auprès d'eux. Être une amie, je pense, quelque chose dans ce genre là. Je suis présente physiquement, mais un peu absente, ailleurs, dans un autre monde plus doux, et plus heureux, j'aimerais vivre là-bas mais je suis là, alors je me résout à être quelque chose pour quelqu'un ici. A défaut d'être heureuse moi-même...
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#Posté le mercredi 10 novembre 2010 15:48

Modifié le mercredi 10 novembre 2010 16:17

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  • Et j'espère au moins que tu m'attends lun. 11 octobre 2010
  • J'aurais aimé tenir ta main un peu plus longtemps lun. 06 septembre 2010
  • Quand on est jeune on vit des moments tellement heureux que l'on s'immagine dans un endroit magique jeu. 13 mai 2010
  • Le bonheur est éphémère alors à chaques...
    Le temps passe à une vitesse folle c'est...
    mer. 10 février 2010
  • ? mer. 02 septembre 2009
  • Correspondance mar. 21 juillet 2009
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